Cousette mère-fille (ép. 1)

C’est vrai que ça peut faire cliché, la mère et la fille qui se sapent pareil, en mode « recalée du casting des Cotonniers ». Mais je ne peux pas m’empêcher de trouver ça mignon. Et pratique pour terminer les coupons. 😉

J’avais donc acheté ce biais en Liberty Mabelle il y a fort longtemps, en grand métrage, partagé avec des copines pour profiter du prix intéressant. Ce coton camel, déniché chez Mr. Albert, sera parfait pour une jolie tunique d’automne. Et le Fait Main de Juin 2011 en propose un patron (Tunique I) : simple et rapide, exactement ce dont mon cerveau avait besoin après le coupon maudit. 😉

 

Il me restait de quoi coudre un petit top pour Juliette. Allez hop hop, on se lance à l’assaut du patron W du Fait Main Septembre 2012 : limpide et efficace, ça ne sera sans doute pas le dernier. Mais la prochaine fois, je suivrai les indications et prendrai un tissu extensible.

 

Pour le plaisir, quelques photos portées, je vous laisse deviner le cadre de ce shooting…(Didi, chut ! 😉 ) (Allez, un indice : boulettes. 😉 )

J’adore le sourire de ma puce. ♥

La lotion des bébés

J’ai longtemps utilisé du liniment pour nettoyer les fesses de mes petits. Mais hélas, il encrassait mes couches lavables. Je bidouillais alors une recette maison, un peu au pif, mélangeant de l’hydrolat et de l’huile végétale…et puis je suis tombée sur THE recette : la lotion micellaire à la Fleur d’Oranger.


Plus facile et rapide tu meurs : il suffit de simplement mélanger les ingrédients. Le plus long en fait, c’est de stériliser ton matos. 😉 Cela fait de nombreux mois que nous l’utilisons, et elle est parfaite : elle nettoie très bien les fesses des petits (big up à l’oxyde de zinc), n’assèche pas leur peau (thanks le miel en poudre), et laisse une délicieuse odeur de fleur d’oranger.

Je la prépare toujours en multipliant les doses par 5 (histoire de ne pas en faire tous les 3 matins), l’EPP conserve très bien l’ensemble. 7€50 pour 250ml de produit totalement bio et efficace, qui dit mieux ? 😉

Et en passant, comme on cause bébé, voici le dernier doudou étiquette, bricolée pour la nouvelle petite fille de ma voisine :

côté face…

 

…et côté pile !

On a hâte de rencontrer le trésor, j’espère que ça lui plaira. 😉

Le coupon maudit

Ça faisait un petit moment que l’on se jaugeait, lui et moi. Acheté d’occas’ à une copine, je ne voyais absolument pas ce que j’allais bien pouvoir en faire : du jersey, un peu froissé, surtout trop fin pour être travaillé sans risquer la crise de nerfs.

Il a longtemps dormi dans ma caisse à tissus jusqu’à ce que je me décide à l’affronter. Même pas peur, tu n’auras pas ma peau, saleté de jersey violet. Ce patron-ci (mini-robe 5C), issu du Burda Couture Facile Automne-Hiver 2011, sera mon meilleur allié.


Verdict : une semaine pour venir à bout de cette SATANÉE MINI-ROBE DE MES DEUX. En soi le patron n’est pas compliqué, mais coudre cette matière m’a rendu chèvre. Et vas-y que ça fronce, et vas-y que ça glisse, et vas-y que t’es obligée de rajouter des pinces à tout va pour ne pas finir les nibards à l’air…

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGH !

Mais le papillon est têtue, alors elle en est venue à bout. Pour arriver à un résultat à peu près portable :

(le jersey avait apparemment fait allié avec des petits gnomes…très efficace comme tactique)

Et là…le mari me regarde et me fait : « tu crois que tu vas sortir avec ce truc trop court et transparent en plus ??? »

Ok, le jersey violet, je capitule. Total respect, tu as gagné. Mais foi de papillon, je me vengerai. 😉

La suite du millefeuille

Non non, il ne sera pas question ici de pâtisserie (quoi que, hier j’ai fait des muffins à la pêche qui déchirent, mais là n’est pas la sujet 🙂 ), mais toujours de ce rituel de beauté auquel je m’attelle depuis 3 mois maintenant. Le sérum précieux anti-âge à la rose ne me convenant pas du tout, j’ai donc cherché une recette plus adaptée à ma peau…d’adolescente.

J’ai décidé de me bricoler un soin fluide hydratant anti-spot pour les peaux à problèmes. (Notez le glamour de l’intitulé, on dira qu’il me rajeunit 😉 ). Relativement facile de réalisation (émulsion à froid), elle demande beaucoup d’ingrédients mais la majorité reste économique, et les huiles peuvent s’acheter en berlingot. (et j’ai une passion pour les berlingots d’huile végétale, vous allez comprendre plus loin).

Verdict : la recette tient ses promesses. Le soin est fluide, absolument pas gras et il hydrate parfaitement. L’odeur de Tea-Tree est moyennement agréable, mais elle ne me gêne pas, manipulant depuis très longtemps cette huile essentielle. Pour l’instant ce sérum semble convenir à ma peau, à confirmer au fil des semaines.

Il me restait donc 2 berlingots d’huile végétale, de Chaulmoogra (zcuse my french) et de Nigelle. Et les berlingots, c’est idéal pour se concocter ses propres échantillons de soin !

L’huile de Chaulmoogra étant le meilleur allié du bronzage, et souhaitant prolonger le mien le plus possible, je me suis offert un soin prolongateur de bronzage : le reste de mon berlingot,  de l’huile d’amande douce pour l’hydratation, de la caprylis pour améliorer la pénétration, quelques gouttes de fragrance Body Butter (qui s’allie bien avec l’amande douce) et hop ! Le tour est joué.

Verdict : complètement addictif, l’odeur est délicieuse, le soin pénètre rapidement et la peau est toute douce. Bonheur post-douche.

L’huile de Nigelle est une excellente huile pour les contractures. Mais il n’est pas recommandé de l’utiliser seule. Mélangée avec la même quantité d’huile d’amande douce, elle se transforme en excellent soin post-sport.

Verdict : il sera testé après ma première séance de Yoga (l’autre bonne résolution de la rentrée) la semaine prochaine. J’ai hâte !

6 fois cousu, jamais déçue !

Premier article ici, avec peut être un des mes patrons préférés : facile, rapide de réalisation, déclinable à l’envie. Cette besace réversible, ainsi que sa petite pochette, sont tirés du livre « Sac et Pochettes« . Cette réalisation est destinée à la grand-mère de mon homme, qui m’a « commandé » le même sac, cousu pour sa fille quelques semaines plus tôt.

Le coton blanc fut acheté dans un vide-grenier, le coton imprimé provient de chez  Mr. Albert., mon fournisseur officiel en tissus. 😉

J’imaginerai bien une version hiver avec un velours sombre, pas vous ?