La lotion…ou comment la simplicité est la solution

Plus de lotion dans ma bouteille. Ça tombe bien, j’ai une pleine bouteille d’hydrolat de lavande. Qu’est ce que je peux fabriquer avec ça ? Hum…fouillons le site d’Aroma-Zone, je vais bien trouver quelque chose…

Ah tiens, la recette de la lotion nettoyante douce de M. Bousquet. Bon, rien de compliqué là dedans, on mélange donc : de l’hydrolat de Lavande, de l’hydrolat d’Hamamélis (ok, côté douceur on y est), du gel d’aloe vera (heu…), du vinaigre de cidre (je vois la douceur s’éloigner au loin…) et quelques gouttes d’huile essentielle de Tea Tree et de Palmarosa (dou-quouaaa ?).


Notez la profonde inutilité de cette photo. Je vous ai bien eu. 😉


Là, on est déjà mieux. (Oui mon humour est pourri mais nous sommes mercredi…les mamans me comprendront).

Bref, verdict : la simple lecture des ingrédients permet de rapidement comprendre que de douceur, il n’y en a point dans cette lotion. Si la lavande et l’hamamélis sont préconisés pour les peaux sensibles, ça n’est pas du tout le cas du vinaigre de cidre, plutôt destiné aux peaux mixtes, voire grasses. Le tea-tree et le palmarosa sont quant à eux parfaits pour aider les peaux à problèmes.

A l’application, la lotion assèche un peu la peau. L’odeur est…étrange (sentez une vinaigrette…voilà, vous y êtes ! 😉 ). Bref, je n’adopterai pas la recette. J’utiliserai cette préparation en cas de spots à traiter.

Et c’est en cherchant un plan B qu’il s’est imposé tout seul : et pourquoi ne pas utiliser mes hydrolats purs ? Sans transformation, sans mélange ? Juste quelques gouttes, sur un coton, après mon gel nettoyant…

Pas de préparation, du naturel « 100% bio », un choix hallucinant chez AZ avec lequel je pourrai m’amuser selon mes besoins et envies, une simple conservation au frais : mais bon Dieu, pourquoi n’y ai je pas pensé plus tôt ???

Comme le disait ce bon vieux Léo (de Vinci) : « La simplicité est la sophistication suprême ». 😉

Sous l’aiguille de Roberta cette semaine…

(Oui, ma machine à coudre a son surnom. Elle est lourde, elle est allemande, elle est géniale : elle s’appelle donc Roberta. 😉 )

Bref, cette semaine, du facile et du archi-connu, c’est pas comme si c’était la 7ème fois que je cousais ce patron.

Une nouvelle commande, identique à la précédente, mais avec la demande d’intervertir les tissus d’extérieur et de doublure.

En même temps je me rends compte que ce que j’écris est stupide puisque la besace est réversible.


Ah ah ah le punch me perdra. Bref, un petit sac aux couleurs de l’automne, toujours avec sa pochette assortie.

Au programme cette semaine : du Burda, du Liberty et un tissu qui danse…vais peut-être aller me resservir un coup de punch moi. 😉

Coussins moustachus

Faudra un jour que quelqu’un m’explique cette folie des moustaches. Encore un coup des hipsters c’est ça ? 😉

Enfin, ma petite soeur fêtait ses 25 printemps la semaine dernière, et je sais qu’elle adore ce motif. Je cherchais vainement une idée pour la gâter quand j’ai eu la révélation en traînant chez la Poulette à Pois. Mais bon sang bien sûr ! Des coussins moustaches, en voilà une idée qu’elle est bonne !

Tout à ma joie de les lui offrir, j’ai zappé l’étape photo. Celles ci ont été gentiment prises par la nouvelle propriétaire.

Le passepoil doré trouvé sur un marché me guidera pour le choix des couleurs…mon stock de coupons fera le reste.

Ils sont entièrement déhoussables, et fermés par un petit bouton (stock maison).

J’ai chopé le gabarit de la moustache par ici, un petit tour de point de feston à la MAC et hop ! L’affaire est dans le sac…(ou dans le coussin suédois si on préfère 😉 )

 

Je crois que ça lui a plu, en tout cas pour ma part je me suis régalée à les faire. 😉

Top à basques burdesque

Quand j’ai découvert la couverture du Burda d’Aout, j’ai eu un véritable coup de coeur pour le modèle présenté à la une. Mais pas en jaune ni à manches courtes, non, celui présenté dans les pages « Esprit Rétro » (114B) : ce col en dentelle, la basque dansante…il me le fallait, de toute urgence !

J’avais ce tissu fleuri aux couleurs de l’automne, acheté pour trois fois rien au marché de la plaine. Je me suis dit que l’association serait parfaite pour fêter l’entrée dans cette nouvelle saison.

 

 

Le patron ne fut pas spécialement compliqué, il demande par contre un peu de temps. J’ai adoré le coudre, il m’a surtout appris de nouvelles techniques : fermeture glissière sur parmenture, ourlet arrondi, manches soutenues et des pinces, des pinces…des pinces partout !

J’adore surtout le dos du modèle :


Sexy pas vrai ? Et comme je n’avais pas de dentelle guipure, j’ai quand même tenu à coudre le col amovible, avec une chute de coton et un peu de dentelle achetée d’occasion :


Pressionné à l’encolure, il permet de donner un style totalement différent à l’ensemble. Mi-sainte, mi-diablotine…je vote pour ! 😉

 

Col-Capuche (ép. 1)

Je ne sais pas pourquoi je m’entête à tricoter. Le geste me plait, mais soyons réaliste, je suis nulle. Je me goure sans arrêt sur les augmentations/diminutions, je zappe tout le temps l’échantillon et je suis d’une lenteur…exceptionnelle.

Un jour je vous montrerai le débardeur que je me suis fait il y a quelques mois. Je le garde par affection, mais il est importable. Sauf si l’on aime le genre grunge. Et encore.

Bref, je continue tout de même à acheter des bouquins des tricot, à stocker des pelotes sous mon canapé…qui sait, l’illumination viendra peut être un jour ?

En attendant, voici un petit col-capuche tricoté cet été pour mon Tommy : j’aime bien l’idée du « 2 en 1 », les écharpes étant bien souvent interdites à l’école.


Le patron est issu de « Tricot-Mes secrets de fabrication« . Il est tricoté en Thalassa de chez Phildar. (du 100% coton…pour l’hiver…quand je vous dis que je suis une buse ! 🙂 ).

La réalisation est plutôt simple, ça monte vite avec des aiguilles en 5, je l’ai terminé en moins de 18 mois et il tombe bien sur mon Tommy…il en faut peu pour contenter un papillon.



En fait ce que je préfère dans ce col-capuche ce sont les boutons…ils sont mignons non ? 😉