Centaurée – Deer and Doe

C’est vrai, je vous l’avoue : je n’avais pas forcément craqué sur Centaurée à sa sortie. C’était surtout les empiècements du buste soulignés de biais qui me gênaient : je n’étais pas vraiment fan de l’effet quadrillage. Et puis la canicule est arrivée ici, ne me faisant rêver que de sundress à bretelles. Et si je testais Centaurée sans forcément souligner les empiècements du corsage ? Ça pourrait le faire non ?

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Il fallait me voir quand j’ai enfilé la robe une fois terminée. 😀 Je me suis mise à courir partout en hurlant « Mais regarde ! REGARDE !!! Sans la moindre modif’! Regarde ce fit !!! MAIS POURQUOI JE M’ÉVERTUE A COUDRE AUTRE CHOSE BORDEL !!!! » 😀 😀 😀

(Etant en ce moment sur une autre robe où j’en suis à ma TROISIEME TOILE, j’ai juste envie de me foutre des baffes. 😀 )

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BREF, sans grande surprise (encore une fois) avec Deer and Doe, je suis DINGUE de ce patron. Je n’avais pas obtenu un fit aussi parfait depuis Bleuet, c’est vous dire. Tout est absolument bien pensé dans cette robe : la féminité du décolleté, les découpes qui subliment nos formes, la longueur de la jupe, ni trop courte ni trop longue. PERFECTION.

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A la base, elle devait être cousue dans un crépon de coton dégoté à la Plaine. Mais le tissu était beaucoup trop fuyant pour en faire quelque chose. Dépitée, je suis partie noyer mon désespoir à la Maison des Ursules où Juliette m’a dégoté ce coton adorable : ma fille connaît décidément bien mes goûts. ♥

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Le coupon ne faisant qu’1m10 sur 1m45, et toutes les pièces se sont casées au millimètre près (en taille 38). Le coton est assez ferme, avec une belle tenue : normalement Eleonore conseille un coton plus léger mais je voulais justement que la jupe ait du gonflant, et le résultat est exactement celui que je recherchais. D’ailleurs, en parcourant le Sew-Along de Centaurée je suis tombée sur cet article fort intéressant : des conseils judicieux pour choisir son tissu au mieux !

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Alors certes il y a un sérieux manque de raccords 😀 mais sur ce motif ça ne me gêne pas plus que ça. De toute façon le décolleté fait diversion. 😀

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L’adorable biais-dentelle a été dégoté chez De Fil en Etoile. Seule petite difficulté : comme il ne s’ouvre pas totalement, j’ai du le poser en sandwich sur le corsage, et non en 2 temps comme Eleonore le conseille dans son livret. Mais avec un peu de minutie ça marche aussi. 😉

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Par souci de finitions j’ai doublé le corsage avec un voile de coton. Honnêtement ça ne vous prendra que peu de temps supplémentaire mais le résultat vaut le coup.

La robe est fermée sur le côté par une fermeture invisible…

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…et l’ourlet est un mini-ourlet.

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Verdict : encore une fois, je tiens un basique qui va être cousu chaque été, c’est certain. 😀 Et la seconde version n’attendra sans doute pas l’été prochain !! ♥

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Une excellente semaine à toutes !!! ♥♥♥

Sophia Dress – By Hand London

Quand on a trouvé sa maison de patron favorite, on a toujours du mal à aller s’aventurer ailleurs. Le problème en couture est le même finalement qu’en prêt à porter : un patron est d’abord taillé selon des mensurations et une morphologie type, et quand nos mesures collent avec celles d’un(e) créateur/créatrice, la réussite est quasi-assurée ! Et si parfois, tenter l’aventure avec une nouvelle maison peut déboucher sur une beau résultat, parfois…c’est un véritable cauchemar couturesque.

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Ah Sophia. Bien évidemment, dès ta sortie, ton col marin m’a hypnotisé, et sans m’en rendre vraiment compte (ahem 😀 ) tu atterrissais dans ma boite aux lettres. Je t’ai tout de suite vu dans un belle viscose fleurie, trouvée à la Plaine. Tu aurais évidemment un col blanc, et des pans de jupes froncés, qui voleraient au vent. Ah que les soirs d’été seront doux, quand tu seras contre ma peau.

(Non non je ne délire pas, quoique. Vous allez rapidement comprendre pourquoi cette robe m’a fait perdre la raison. 😀 )

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BREF, au moment de la coupe, j’hésite longuement entre la taille 6 et la 8, pour opter pour la plus petite, échaudée par ma précédente expérience. Le papier de soie est horriblement fin, les lignes quasi illisibles au niveau des pinces poitrine : je coupe une première fois mes devants sans les marges nécessaires pour piquer les pinces. Première erreur, mais facilement rattrapable puisque j’avais quasi 3m de tissu (en petite laize).

Je monte tout le corsage, col compris et là…impossible de rentrer dedans. Le résultat avec le col blanc n’est pas très heureux. Je décide donc de jouer sur les marges, je recouds tout à 5mm et remplace le col par un autre en viscose fushia. Le résultat est implacable : je rentre dedans mais…c’est MOCHE.

Voilà, vous visualisez un peu mon état. Remplacez juste l’arme par un découd vite. 😀

Au final j’ai compris (en y mettant le temps, ok 😀 ) que le tissu étant assez casse-gueule, il lui fallait une coupe ultra sexy pour le funkiser un peu. Exit donc le col, j’ai re-re-cousu le corsage en cherchant le fit le plus ajusté. Quitte à réduire 2 fois la hauteur de la taille sur 1cm et la longueur des épaules sur 1,5cms (en re-décousant à chaque fois entre toutes ces modifications sinon c’est pas drôle, hein. 😀 )

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Voyez, ça c’est le cri de la VICTOIRE. (ou du pétage de plombs, je n’en suis pas certaine encore. 😀 ) Quoi qu’il en soit, j’en suis venue à bout et je ne regrette pas l’acharnement. Cette robe, de part son confort et son fit ajusté, est de mes préférées. Regardez comme elle flatte le décolleté !

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Merci la pince poitrine en Y, je n’avais jamais vu ça ailleurs mais ça vous lifte les boobs, c’est sympa non ?

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Le dos est joli aussi, fini par une fermeture éclair invisible.

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Le corsage est entièrement doublé, et la doublure surpiquée sur les marges et cousue à la main sur le tissu extérieur.

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Pour les jupes, le patron proposait soit une version avec godets s’évasant gentiment aux hanches, soit une version jupe fourreau. Comme les 2 options ne me plaisaient pas vraiment, j’ai simplement froncé 2 grands rectangles d’1m sur 55cms. Et ça marche !

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Bon, elle est courte, mais c’est exactement ce que je recherchais. (et le mari n’a pas râlé, oh miracle ! 😀 )

Verdict : malgré les difficultés que m’a posé cette robe, je ne regrette pas de l’avoir cousu. Déjà, je saurai d’avance les modifications à faire si d’aventure un nouveau patron me tente chez By Hand London, et de plus, j’ai gagné une petite robe féminine et flatteuse à souhait. Souvent les plus belles histoires d’amour commencent sur un malentendu, pas vrai ? ♥

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Pour conclure cette article, j’ai l’honneur et le plaisir de vous partager la petite interview réalisée par l’équipe de Thread and Needles : si vous voulez en savoir un petit plus sur moi, c’est par que ça se passe ! 😉 Une très belle semaine à toutes !!!

Vintage Shirt Dress – Sew Over It

Alors tu as ta do-list établie pour l’été, des projets échelonnés jusqu’à l’automne…et au détour d’une publication Instagram, BIM. Le coup de foudre. J’ai croisé le patron de cette robe chemise et plus rien d’autre ne comptait.

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J’avais beaucoup aimé le col châle de Juliette, la chemise de chez République du Chiffon, mais comme je ne porte plus ce type de pièce, l’investissement aurait été inutile. Et puis la maison londonienne Sew Over It a lancé la Vintage Shirt Dress début juin : le timing n’aurait pas pu être plus parfait.

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Commençons directement par le point qui fâche : ne voulant pas commander le patron papier (un coup de foudre ne se fait décemment pas attendre), j’ai opté pour la version PDF…qui fait 64 pages. Voilà. Préparez vous à vous armer de patience, d’un bon massicot et de pas mal de scotch.

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Mais ce délicieux col ne les vaut-il pas ? C’était la première fois que je cousais un modèle de cette maison et j’ai été agréablement surprise par les explications. Absolument TOUTES les étapes sont illustrées par des schémas : même si votre niveau en anglais est léger, vous vous en sortirez sans souci.

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C’est la première fois que je vois des plis en guise de pinces de taille. Le résultat, avec les fronces sur les empiècements des épaules, est très joli.

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Le robe est proposée avec ou sans manche. Pour la version estivale, les emmanchures sont finies avec du biais.

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A la place des boutons, j’ai eu envie de poser des pressions nacrées. J’aime bien la petite touche de modernité qu’elles donnent à la robe, très marquée vintage tout de même.

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Le tissu est un coton que j’ai trouvé à la Plaine il y a fort longtemps : épais mais souple, très confortable avec un touche d’élasthanne, il est légèrement peau de pêche au toucher. Un vrai bonheur à coudre et à porter. Je n’avais qu’1m70 : j’ai du raccourcir les jupes de 5cms pour que toutes mes pièces rentrent sur le plan de coupe (j’ai ourlé les jupes sur 2cms.).

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Niveau taille, j’ai hésité longuement entre la 8 et la 10, pour au final opter pour la 10 et me retrouver avec une robe trop grande. J’ai raboté les côtés sur 1cm, mais c’est encore un petit peu large. Sur une robe d’été, l’aisance sera confortable, mais pour la prochaine version hivernale je couperai directement en 8.

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Verdict : j’ai beaucoup aimé réaliser cette robe. Vous sentez dans les explications qu’elles ont été pensées par une vraie professionnelle de la couture : les finitions sont poussées, toutes les marges crantées, les parementures stabilisées par des sous-piqûres. Vous terminez avec robe parfaite et qui vous aura énormément appris. C’est un vrai coup de coeur pour ce modèle, dont j’ai hâte de réaliser la version manches longues ! ♥

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Et devinez qui a eu droit à son « A Bas les Chutes » ???

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Il ne restait vraiment pas grand chose…mais j’ai réussi à y caser un nouveau petit short pour Paul ! ♥

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C’est le même modèle que celui de mon précédent article, avec toujours les petites poches arrières et le lacet en guise d’élastique.

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Une belle semaine à tous, nous on est paré pour les fortes chaleurs !!! ♥

A Bas les Chutes ! #20

Qui dit 2 coupons différents présentés dans mon dernier article, dit 2 #abasleschutes à vous proposer aujourd’hui. On commence par celui de Juliette ?

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Un jersey rose à pois blanc…vous imaginez bien l’hystérie quand je lui ai proposé d’en faire quelque chose ! Comme Ondée ne nécessite pas beaucoup de métrage, il me restait assez pour lui faire une petite robe. J’ai choisi la robe Q du Fait Main de Septembre 2014., taillée en 4 ans.

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Sauf qu’au moment de monter la jupe, je me suis rendue compte que je ne l’avais coupé qu’une fois. Et plus de tissu pour rattraper ma bourde. J’ai donc coupé la jupe en 2 dans sa longueur.

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La robe s’est donc transformée en longue tunique, mais avec un legging le résultat est plutôt mignon.

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Les explications préconisaient des fronces classiques à la machine, mais sur du jersey je trouve l’exercice plus joli avec un élastique. Pour l’ourlet, j’ai surjeté les bords et effectué un simple rentré avec l’aiguille double. La robe comporte des manches papillons avec revers.

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Pour l’encolure, au départ je n’ai pas lu les explications et monté ma bande de jersey en la relevant. Sauf que le résultat n’était pas très esthétique. Au final je l’ai simplement retourné sur l’envers, et surpiqué à l’aiguille double.

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Verdict : je laisse parler le sourire de lui-même ? ♥ Comme d’hab chez Fait-Main, le 4 ans reste très large, mais ça lui durera ainsi plus longtemps. On passe à Petit Paul ?

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(Non mais un jour je vais le bouffer tout cru ce môme. ♥ )

C’est son papa qui m’a demandé un short, en me voyant couper le chambray pour demi-Belladone. J’ai fouillé dans mes Burda et trouvé ce modèle, simple mais efficace.

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C’est le short 140 du numéro de juin 2014. A la base le modèle comporte des poches sur les côtés mais je ne les ai pas cousu.

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Mon moineau ayant un bel appétit (euphémisme… 😀 ), j’ai remplacé l’élastique par 2 boutonnières et un lacet.

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J’ai conservé les 2 poches arrières.

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« Mais tu mates mes fesses là ??? » 😀

J’ai coupé en 80 et le fit est bon. Rien d’extraordinaire ici, juste un petit short mais qui sera parfait pour cet été. Et je n’ai plus rien de mon coupon de chambray ! 😉

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(Mais qu’il est beau mon fils !!! ♥)

Un très bel été à nos loulous pour qui les vacances démarrent demain, et une bonne fin de semaine à toutes. ♥

Quand Ondée rencontre demi-Belladone

Aujourd’hui, ce n’est pas un mais deux ouvrages que je vous présente : ces deux là s’entendent trop bien pour qu’il en soit différent !

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Mais pourquoi demi-Belladone ? Et bien parce que je l’ai transformé en jupe !

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Pour vous la faire courte, j’avais envie d’une jupe en chambray pour cet été. Mais impossible de me décider sur le modèle qui sublimerait ce petit coupon d’1m de chez Mr. Albert. Et c’est en portant ma Belladone que l’évidence eut lieu : c’est exactement ce patron qu’il me faut !

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Rien de compliqué ici : doublez seulement votre ceinture et prenez une fermeture plus petite. Et vous obtenez une petite jupe trapèze trop choupi. ♥

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Je ne sais pas pourquoi j’ai ce TOC de poser du passepoil sur tous les modèles de Deer and Doe. Mais là encore, il me fallait souligner ces découpes si féminines. Autre lubie : je ne peux pas coudre Belladone sans soigner les finitions à l’extrême. Sans doute parce que j’ai un respect infini pour ce patron qui est (pour moi hein) un des plus beaux modèles indépendants : là encore, les coutures côtés sont à l’anglaise, et j’ai cousu à la main la doublure.

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Pour la fermeture, j’ai délibérément choisi un fermeture éclair bien solide : j’ai moyennement confiance aux invisibles sur cette position stratégique. 😀 (tu le sens arriver le crac quand tu t’accroupies avec tes mômes ??? 😀 )

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Pour l’ourlet, j’ai encore utilisé mon pied à ourlet invisible (toujours le tuto de Thread and Needles).

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Le résultat est plutôt pas mal, vous trouvez pas ?

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On passe à Ondée ??

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Non mais elle nous a pas refait le coup du col blanc, si ?

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Ben oui. 😀 Ce modèle est un pousse au crime pour les cols contrastants, moi je vous dis ! ♥

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Ondée est le meilleure amie de celles qui aiment porter des jupes, des shorts ou des pantalons à taille haute, à l’instar de Nettie. Il fonctionne assez bien aussi sur les petites robes avec taille marquée.

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Ce top est le petit projet parfait : rapide, facile et ne nécessitant que très peu de métrage, c’est le modèle parfait pour démarrer avec le jersey. Celui ci a été racheté à Clm : un jersey de coton vintage, puisqu’il doit avoir pas loin de mon âge.

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Pour le col et les bracelets de manche, j’ai utilisé un jersey blanc de la Plaine.

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Et j’ai surpiqué le dessous du col avec mon aiguille double.

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Verdict : je suis ravie de ce petit ensemble, #teamculcul à souhait. ♥ Et j’ai déjà tout plein d’idées pour d’autres versions d’Ondée !

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(Vous le voyez l’adorable photobombing en arrière plan ?? ♥) Une excellente semaine à toutes ! ♥