Lors de ma virée parisienne pour le CSF, j’ai donc découvert Bennytex. Et en plus d’avoir un très large choix de tissus, une équipe souriante et ultra accueillante…ils sont, comment dire…généreux quand il coupe. Je veux dire, très généreux. Et ça, autant vous dire que ça fait des « A Bas Les Chutes » de compét’ ! 😉

J’avais donc demandé 2m de ce jersey de viscose…et j’ai eu 70cms de rab. ^^ J’ai donc pu sans aucun souci caser la robe 142 du Burda de Décembre 2013…la même déjà cousue pour Noel 2013 !

D’ailleurs, ces deux ouvrages montrent à quel point le rendu peut être différent, que l’on opte pour du jersey assez épais et peu élastique, et un jersey ultra fin et assez élastique. Ayant vraiment de la place sur mon plan de coupe, j’ai pu couper les jupes initiales, ultra, supra larges.

Et qui c’est qui a ravi sa puce folle des robes qui tournent ??? ♥

Oui mais j’ai tapé plus fort encore. ♥ Cette robe était donc celle de notre réveillon de Noel. Et pendant qu’elle siestait en se préparant au grand soir…j’ai ressorti le flex gentiment offert par Emmanuelle, en même temps que ceux de Tom et Paul. ♥

Une robe qui tourne + un flex de la Reine des Neiges : j’ai envie de vous dire…le combo gagnant. 😀

Sur le patron en lui même, j’ai apporté quelques modifications : j’ai supprimé la fermeture à glissière, les parements d’encolure et de manche, et remplacé tout ça par une simple bande de biais relevée. J’ai opté pour la taille 110 : c’est assez large, mais comme je le dis toujours pour les coutures enfants…il vaut mieux ça que l’inverse ! 😀 Elle en profitera aussi l’année prochaine.

Verdict : je laisse parler le sourire de la puce ? ♥ Evidemment, carton plein sur cette robe, portée de nombreuses fois depuis Noel. Et grâce au Papa Noel qui m’a porté une Silhouette Portrait cette année, m’est d’avis que la fabuleuse histoire entre le Papillon et le flex ne fait que commencer ! ♥

Je profite de ce message pour vous souhaiter une belle année 2016. Qu’elle vous soit douce et créative, et surtout remplie d’amour. ♥ Et encore merci pour vos commentaires, qui me vont toujours droit au coeur. ♥

Je l’avais écrit ici, il y aurait une récidive à Wren. Déjà parce que j’adore ce patron, mais surtout…parce que je déteste rester sur un échec. 😉

Le bon jersey, c’est chez Bennytex que je l’ai trouvé : un jersey viscose fin, avec un beau drapé, sans être trop élastique. Quand je suis tombée sur ce rouge éclatant, j’y ai tout de suite vu ma robe de Noel.

Attention toutefois si vous venez à l’acquérir : il dégorge énormément. Comme pour chacun de mes tissus, je l’ai lavé une première fois, avec le reste de mon linge et une lingette anti-décolorante…qui n’a pas empêché le carnage rose. Depuis Noel, j’ai lavé ma robe et l’#ABasLesChutes à la main, et encore une fois, l’eau était rouge vif. Faites donc attention si vous venez à l’acheter vous aussi.

On le voit peu sur ma première version, parce que j’avais passé la séance photo à tirer sur mon corsage, mais la taille de ma première Wren est vraiment haute. Pour celle ci, j’ai donc entrepris de rallonger le corsage de 4cms : à l’essayage, cela me semblait bon. Sur les photos je trouve cela un tout petit peu long : si prochaine version il y a, je rallongerai sans doute de 3cms seulement.

Toujours la taille S, toujours -5cms sur la jupe. Et comme sur ma première, j’ai modifié les finitions de l’encolure : au lieu de faire un simple ourlet à l’aiguille double sur les pans des demi-devants et sur l’encolure dos, puis d’assembler les épaules, j’ai préféré assembler les épaules et terminer l’encolure par une bande de jersey relevé.

Verdict : c’était Sandra qui disait que souvent, pour obtenir le fit idéal, 2 voire 3 versions d’un même patron était nécessaire. Wren l’illustre de façon magistrale : celle-ci n’est pas encore parfaite, mais je l’aime vraiment beaucoup. Elle est d’un confort sans pareil, grâce à la fluidité du jersey de viscose. Comme le disent les Américaines : a real secret pajama ! ♥

Je profite de ce message pour vous souhaiter à toutes et tous un très Joyeux Noel. ♥ Soyez heureux et profitez bien des gens que vous aimez. Et encore merci pour vos commentaires qui me vont à chaque fois droit au coeur.♥

Evidemment, qui dit maille fleurie dit la puce se jetant sur moi telle une abeille sur un pot de miel. Les chutes ne pouvaient se transformer qu’en robe, à toi de jouer Maman ! J’ai alors accepté ma mission, accompagnée de ma fidèle alliée, Dame Burda. 😉

J’avais eu un tel coup de cœur pour ce patron que je n’ai pas tardé à réitérer l’expérience, mais en utilisant cette fois la version 143, avec la jupette froncée (Burda Mai 2014).

J’ai adapté le modèle à la maille : j’ai supprimé la fente sous parementure, et redessiné l’encolure.

Toujours la bande de jersey relevée qui va bien, et la jupette est froncée avec un élastique, selon la même technique que celle utilisée avec Moneta.

J’ai aussi rallongé les manches. J’avais souvent lu que lorsque que l’on coud un patron en maille pour un patron prévu en tissé il faut opter pour la taille inférieure. Et je le confirme : ici j’ai gardé le 110 pour ma puce, et c’est un petit peu grand. Mais ainsi elle en profitera plus longtemps.

Paul, ce pro international en photobombing. 😀

Alors verdict ? La puce est ravie, la mère a rentabilisé sa maille au max, l’armoire gagne une robe : c’est une affaire qui roule mon Capitaine !

Une petite puce qui va fêter ses 5 ans dans 4 jours. ♥♥♥ Si elle savait à quel point je l’aime ! ♥♥♥

Une excellente semaine à toutes !!! 😉

Je savais que j’allais apprendre beaucoup de choses en cours de modélisme. Mais je ne me doutais pas que j’allais aussi apprendre beaucoup sur moi-même. Et cette robe va en être la parfaite illustration.

Ma Moneta fleurie est sans conteste la robe que j’ai le plus porté cet été. La récidive hivernale était obligatoire, mais impossible de trouver le jersey parfait. Jusqu’à cette discussion sur Instagram avec Nutellise et Karine: je découvre ce jersey sur Tissus.net, et le coup de foudre est immédiat. J’ai fait fi de toutes mes appréhensions sur l’achat de tissus sur le net, et bien m’en a pris, car c’est un très beau jersey. Et regardez avec quoi il est livré !

Composition, conseils de lavage : ne manque que le taux d’élasticité et cette petite étiquette serait parfaite !

Sur cette 5ème Moneta, j’ai eu envie de modifier l’encolure en m’aidant du Plantain de Deer and Doe. Je sais qu’Anna a fait un tuto sur son blog, mais honnêtement, je n’ai pas tout compris. 😀 Au final j’ai redessiné la chose en bidouillant et surtout en m’aidant de ce fabuleux outil découvert en cours de modélisme : LE PERROQUET !

Je ne sais pas comment j’ai fait pour coudre pendant des années sans soupçonner l’existence de cette chose. 😀 Grâce à lui, vous pouvez redessiner n’importe quel arrondi, c’est génial ! A vrai dire si je m’écoutais, je passerai mes journées à redessiner des arrondis, un peu n’importe où. 😀

J’ai terminé mon encolure par une bande de jersey relevée, comme d’habitude, et surpiquée par l’aiguille double. Et c’est au moment de coudre ma jupe, que me sont revenus en mémoire les mots de ma prof de modélisme.

Après plusieurs cours, notre corsage de base est terminé. Avant de passer à la jupe, nous démarrons notre premier projet, et c’est en constatant mon angoisse face à la page blanche, qu’elle m’a lancé : « mais tu ne dois pas brider ton imagination. Les choses ne sont jamais figées, tu peux dessiner quelque chose, effacer, recommencer, découper une forme et puis l’adapter au fil de ta couture. Draper, coudre, découdre, tout t’est permis ! ». Et c’est en repensant à ses mots, qu’au lieu de froncer mes pans de jupe…j’ai eu envie de plis creux.

Oui en ce moment je passerai mon temps à dessiner des arrondis ET coudre des plis creux. 😀 J’en veux partout ! 😀

Ce jersey étant élastique en largeur mais pas en longueur, la taille de mon corsage est un peu trop haute. Faire des plis creux à la place des fronces permet d’élancer l’ensemble. Ce jersey étant aussi d’une épaisseur moyenne, l’ensemble est plus flatteur.

Toujours en taille S, j’ai gardé mes modifications de -1cm au buste et -5cms sur la jupe : la jupe est courte, mais elle me plait comme ça. Et j’ai rallongé les manches grâce à celles de Wren.

Verdict : mais si vous saviez comme j’aime cette robe. ♥ De la maille fleurie, une forme flatteuse et confortable, un beau décolleté, des plis qui donne une belle ampleur à la jupe : je tiens mon combo parfait. ♥ Je suis à deux doigts de racheter le même jersey en gris et de copier ce petit bijou ! ♥

Une très belle semaine à toutes ! ♥ (et encore merci Stéphanie pour le prêt de ta surjeteuse. 😉 )

Comme un acte manqué, j’avais acheté 2m50 de ce lainage, au lieu des 2m requis pour Pavot. Si au départ je voulais réaliser une veste pour Paul, force est de constater que celui qui en avait le plus besoin était bien Tom, qui ne possédait aucune veste demi-saison. Et comme à chaque fois, le destin va bien faire les choses : mes chutes vont coller pile poil à ce projet !

En général pour mes #ABasLesChutes, je veux des patrons simples. Et il ne fut pas facile de trouver celui-ci. J’avais bien des patrons de vestes/manteaux chez Burda, mais tout était assez compliqué, avec moult détails comme Dame Bubu sait bien les faire. Et c’est après de longues heures de recherche, que je suis tombée sur le Olivia and Oliver Pea Coat, de chez Peek-a-Boo-Pattern Shop.

Plus easy tu fais pas : 2 devants, coupés en double, un dos et sa doublure, 2 manches et leurs doublures, un col et roule ma poule, t’as une veste doublée pour ton rejeton. Alors certes, on sent que le modélisme est assez basique : les manches par exemple sont identiques pour le devant et le dos (hum). Niveau finitions aussi, on a connu plus poussée mais honnêtement, c’est ce que je cherchais : un patron qui me permette d’obtenir une veste sympa, sans passer 25 plombes dessus.

Et franchement, ça le fait nan ? ♥ La veste est donc entièrement doublée, avec ce qu’il me restait de mon coton de la Droguerie.

Le col se monte très facilement, puisqu’il n’y a pas de pied de col.

La veste est entièrement surpiquée sur tout le pourtour, c’est étonnant mais le résultat est plutôt propre. Attention toutefois à la longueur des manches : apparemment les petits américains ont les bras plutôt courts, car leur longueur en taille 7 ans sur les mensurations correspond à celle en 6 ans chez Burda. Je les ai rallongés de 2,5cms et vous voyez, c’est tout juste.

Mais à part ce détail, le fit est plutôt bon. Et pour pousser la flemmardise à son maximum, j’ai même rusé sur les boutons.

Vous avez capté la feinte ??? 😀 😀 😀 Et bam, 3 boutonnières en moins ! 😀 (Notez que celles ci sont réussies, contrairement à celles de mon Pavot. Ne jamais coudre dans la précipitation…)

(Non mais celui là je vous jure… 😀 )

Verdict : comme d’habitude, entre mon projet et l’ #ABasLesChutes, c’est très souvent ce dernier que je préfère. ♥ Je suis vraiment ravie de cette veste, qui fut un plaisir à réaliser. Et apparemment, Tom semble l’apprécier lui aussi. 😀

Entre deux cascades quoi. 😀

Je vous souhaite à toutes et à tous un bon week-end, prenez bien soin de vous. ♥