Une fournée bien chargée est prévue au programme aujourd’hui : vous êtes prêts ? Allez hop, c’est parti !

Alors reprenons de manière chronologique : je n’ai pas cousu les chutes de la robe Mariah, car il me restait un bon mètre de mon coupon, j’ai donc mis de côté ce beau satin de coton, qui pourra qui sait me servir sur un autre projet dans l’avenir. Aucune chute de ma robe McCall’s, où le patron s’est casé pile poil sur mon métrage.

Ce qui nous mène au jersey moucheté Agnès B : vu notre coup de foudre mutuel, il était évident que je devais caser quelque chose pour Juliette sur mon plan de coupe. Et je me suis dit que c’était le moment ou jamais de tester la robe Corfou d’Ikatee.

La créatrice de la marque m’avait contacté il y a quelques mois, me demandant si j’étais partante pour choisir un patron dans leur catalogue. J’ai accepté la proposition avec plaisir, et opté donc pour la robe Corfou : une robe confortable en jersey, avec une encolure bateau et des manches Dolman.

Le patron est destiné aux débutants : les explications sont donc très lisibles, illustrées de photos, et d’astuces pour coudre le jersey. J’ai personnellement modifié 2-3 petites choses :

• concernant le montage des côtés et l’ourlet des manches, le livret propose d’ourler les manches, puis d’assembler le devant et le dos : j’ai préféré faire l’inverse. Je trouve la finition plus propre.
• j’ai utilisé l’aiguille double pour les ourlets, plutôt qu’un point droit.
• j’ai remonté la taille élastiquée sur 2,5cms.

L’encolure est terminée par une fente dos, avec parementure. Cette dernière doit être thermocollée : j’ai utilisé du thermocollant stretch, ce qui permet de garder l’élasticité du tissu. Et j’ai recouvert un bouton pour la fermer.

La taille est donc élastiquée directement sur l’envers. La ceinture n’est pas obligatoire, mais je trouve qu’elle finit joliment la robe. Enfin, je dis ça après l’épreuve des brides.

Oui parce que je voulais faire des brides, mais en fil fluo. Sauf que je n’ai pas de fil fluo. Dans un accès de démence, je suis allée dépiauter ce qu’il me restait de cordon, tenté de créer une mèche avec plusieurs micro fils (oui oui, n’importe quoi) et brodé tout ça en « brides » qui ne sont pas parfaites de près, mais de loin font plutôt la blague. Un jour mes lubies me perdront. 😀

Côté taille, j’ai opté pour le 6 ans, et cela taille un petit grand. Ce qui m’arrange très bien puisqu’elle est censée être portée l’été prochain.

Verdict : je crois que ce jersey manque de souplesse pour donner un résultat tout à fait satisfaisant. J’ai aussi du mal avec le côté très loose de la robe, mais ceci est surtout dû à mes goûts personnels. Quoi qu’il en soit Juliette l’aime beaucoup, elle la trouve très confortable. Si le modèle vous plait et que vous débutez avec le jersey, foncez, vous apprendrez pas mal de choses !

Et comme il me restait un tout petit bout de jersey, je me suis dit qu’il était temps de tester l’ABasLesChutes ultime, la petite culotte !

Bon là on est clairement sur un fail : elle est trop petite pour la puce. Je l’ai patronné vite fait depuis une de ses culottes, et elle lui est trop serrée au niveau des cuisses. Mais ce n’est pas grave, elle a le mérite d’être au moins bien cousue et m’aura démystifié cette pièce…en attendant la prochaine !

On passe aux chutes de la robe Juvamine ?

J’ai eu un tel coup de coeur pour ce tissu que je voulais le rentabiliser AU MAX DU MAX. Je n’ai pas réfléchi plus de 10 secondes au modèle : ce serait évidemment une nouvelle Mini Perle !

(« Je ne vous permets pas jeune fille ! » 😀 😀 😀 )

Ah la Mini Perle…ce n’est QUE ma sixième version. 😀 Que voulez-vous, je ne me lasse pas de ce patron, c’est toujours un réel plaisir à coudre. Je suis d’ailleurs persuadée que Juliette s’imagine que c’est SA jupe. 😀

Comme je voulais qu’elle puisse la porter l’été prochain, j’ai coupé en 6 ans, et ajouté 5cms à l’ourlet en n’ourlant que sur 1cm. Normalement ça devrait être bon.

J’ai passepoilé la ceinture et les poches, et utilisé mon satin stretch en doublure.

Celle ci pourrait être rebaptisée la jupe « Oui mais Non », par rapport aux raccords, qui ne sont pas du tout réussis au niveau de la ceinture. Honnêtement, j’aurais pu tout défaire et recommencer, mais…non. La FLEMME. Nous dirons que j’avance sur le chemin du lâcher prise. 😀

Verdict : et puis hein, qui va aller regarder les raccords avec un sourire pareil, hein, JE VOUS LE DEMANDE ! Je ne reviendrai pas sur mon amour concernant cette jupe, je bénis juste Ivanne de l’avoir gradé jusqu’en 12 ans, si je calcule bien, à raison de 2 ou 3 Mini Perles par an, je pourrai bientôt ouvrir une boutique. 😀

Et devinez qui a eu droit à sa dose de Juvamine ??

(« Oh ? Vous avez quoi avec les langues aujourd’hui ??? »)

C’est mon petit Paul bien sûr ! Il était temps que l’automne débarque je vais vous dire, parce que je crois que je démarrais une shortite aiguë. 😀 Je vois des shorts dans toutes mes chutes, je rêve d’oeillets et de cordon…c’est grave Docteur ?

Toujours le modèle 140 du Burda de Juin 2014 (dont je vous épargnerai la photo hein 😀 ), simplifié ici au maximum : pas de poches arrières ni sur les cotés. Une coulisse, des oeillets, un cordon, et tiens moi la rampe : dans l’armoire pour l’année prochaine !

Je n’ai pu caser que la taille 86 : j’ai rogné sur les marges et ourlé sur seulement 1cm : comme aujourd’hui il lui va assez grand, j’ai bon espoir pour l’année prochaine.

Si vous êtes toujours là et que vous avez survécu à ce billet fleuve, je vous souhaite une belle fin de semaine ! Prenez soin de vous. ❤

Je compare souvent les sorties de patrons à des parties de bowling : certaines balles s’élancent sur la piste, et selon mon goût, mes envies, mes besoins, vont plus ou moins rapidement rejoindre la rigole, disparaissant de mon paysage couturesque. Et puis il y a des patrons qui déboulent, explosent toutes les quilles en une fraction de seconde, telle une to-do list parfaitement échelonnée, disparaissant au profit d’une seule et unique envie, impérieuse et irrépressible. Ces patrons là, je les appelle mes patrons « Strike » et Rue, la dernière robe de Colette, en fait évidemment partie. ❤

Ah Rue. Il faut dire que cette balle là avait pris un sacré élan : Colette nous avait distillé des indices les semaines précédant la sortie, annonçant son retour au vintage, après quelques patrons plus « modernes ». Autant vous dire que je comptais littéralement les jours avant la sortie officielle…et je ne fus pas déçue.

J’émettais juste un petit doute sur cette découpe du corsage qui tombait pile sur le sein, et la version en flanelle de Sarai m’a confirmé la modification qu’il me fallait entreprendre : baisser cette découpe. Avant toute chose, j’ai donc fait une toile, en taille 4 :

Au final, je trouve la découpe plutôt jolie, mais je savais qu’elle ne fonctionnerait pas sur mon tissu choisi, souple et assez épais, surtout au niveau des plis couchés du décolleté. Il me fallait aussi rallonger de 2cms le corsage. Voici donc les modifications que j’ai pu entreprendre :

• j’ai rallongé le dos de 2 cms (selon les lignes indiquées sur le patron)
• allongé la pièce centrale devant de 5cms (comme indiqué dans cet article du sew along) et réduit cette même pièce de 3cms au niveau de la pointe, en redessinant la découpe avec un perroquet
• réduit l’empiècement côté de 3cms, au niveau de la découpe, donc sur le haut de la pièce.

Je ne sais pas si la façon de faire est bonne, mais quoi qu’il en soit, cela marche plutôt pas mal. Mon seul bémol se situe au niveau de la poitrine, sous les emmanchures : il y a un excès de tissu, peu esthétique mais au final assez confortable. A modifier pour la prochaine.

(Notez qu’avec toutes ces prises de tête, j’ai totalement zappé le raccord des rayures. Et je m’en fiche comme de ma première bobine de fil ! 😀 )

Autre modification : j’ai aussi cintré le bas du dos et le haut de la jupe dos d’1,5cms, par rapport à ma cambrure assez prononcée.

Concernant la jupe, je l’ai raccourci de 10cms. Si le dos est en 2 parties, le devant est en fait constitué de 3 panneaux : sous les plis creux latéraux se cachent 2 coutures. Le tombé est vraiment magnifique.

(Yeah, on peut tourner avec !) (35 ans, pourquoi ??? 😀 )

J’ai opté pour la version 1, avec ses manches courtes. Je suis vraiment fan de l’encolure : associée avec les manches assez courtes, je trouve qu’elle équilibre joliment les silhouettes en A.

Mais l’autre point fort de Rue, ce sont ses finitions aux petits oignons.

(la robe sur l’envers)

A la base, la robe est entièrement doublée : mon tissu étant assez épais, j’ai choisi de ne doubler que le corsage et les manches, avec du satin stretch blanc.

Vous vous rappelez les finitions au niveau des emmanchures sur ma première toile, la super technique que ma prof de modélisme m’avait apprise ? C’est exactement la même technique ici : assez difficile à coudre, mais alors, le résultat vaut le coup.

C’est beau hein ?

Dans les détails, j’ai souligné les découpes du corsage avec du passepoil blanc.

Concernant le tissu, ce fut une évidence dès le départ : il me fallait des rayures. Mais attention ! Jaunes et blanches, ET larges. Il fallait qu’il soit en coton, qu’il ait un beau tombé, qu’il ne soit pas trop épais, dans l’idéal qu’il contienne un peu d’élasthanne pour le confort. Autant vous dire le graal. Et après quelques heures de recherche sur le net, c’est aux Tissus de Roubaix que j’ai trouvé la perle ! Vous le savez, je n’aime pas trop commander sur le net, mais cette fois ci, j’ai bien fait de prendre le risque : ce tissu est exactement ce que je recherchais.

J’ai trouvé les explications de Colette limpides : toutes les étapes sont illustrées de schémas, et des liens vers des vidéos sont associés aux point les plus techniques. Ajoutez à ça le super sewalong qui se tient en ce moment, et vous n’avez plus aucune raison de ne pas vous y coller, si Rue vous tente !

Verdict : elle n’est pas tout à fait parfaite, mais pour une première version, je suis plutôt satisfaite du résultat. Le confort que ce soit au niveau des emmanchures ou de la taille est vraiment génial, je m’y sens aussi bien que dans une robe en jersey, c’est vous dire ! Et ces rayures jaunes sont parfaites pour l’été indien que nous vivons actuellement : je crois que je vais la rebaptiser ma robe Juvamine. ❤

Une excellente fin de semaine les filles, prenez bien soin de vous ! ❤

Sérendipité : le fait de réaliser une découverte scientifique ou une invention technique de façon inattendue à la suite d’un concours de circonstances fortuit et très souvent dans le cadre d’une recherche concernant un autre sujet. (extrait page Wikipédia).

Exemples connus : la pénicilline, le four à micro-ondes, la tarte Tatin.

Et permettez moi d’y ajouter, mon pyjashort. 😀

Tout a démarré par un coup de foudre lors d’une vente Agnès B : Juliette et moi sommes tombées sur ce jersey moucheté de fluo. Hystérie collective, plan sur la comète et surtout, adorable négociation avec une lectrice de mon blog qui a consenti à partager la fin du rouleau avec nous. (je ne me rappelle plus de ton prénom, mais nous te remercierons encore ! ❤). Nous repartons avec notre coupon sous le bras, rêvant déjà à une Moneta stylée 90’s, que je porterai avec des petites sneakers.

Le jersey est moyennement épais, avec très peu de drapé. Et mon radar « ALERTE FRONCES PAS FLATTEUSES » ne s’étant pas activée à temps, ce qui devait arriver arriva : ma Moneta est moche.

Je comprends, trop tard, qu’une jupe demi cercle aurait été plus flatteuse. Mais ayant déjà optimisé mon plan de coupe pour Juliette, je n’ai plus de tissu. Je suis fatiguée, il est tard et je m’imagine pouvoir tracer une jupe 1/4 de cercle dans le patron d’une jupe froncée. Je coupe à la sauvage un truc qui ressemble de loin et en fermant les yeux à une jupe 1/4 de cercle. Et le résultat est sans appel : c’est moche, c’est trop petit et pire de tout : ça me boudine.

Dans un élan désespéré, je reconstitue ma jupe froncée, et sors mon va-tout : des plis creux. Le résultat est…hum…je vous laisse juger par vous mêmes.

Le résultat m’a quelque peu laissé dubitative, à mi chemin entre la trouvaille stylistique sous LSD et le truc le plus moche jamais cousu. Je me questionne, demande l’avis à tous les membres de la famille et finis par avoir l’illumination : « ça fait un peu chemise de nuit quand même…mais…attends…et en tenue de nuit, ça va peut être le faire ??? »

TADAAAAAAAAAAAAAA !

(Hihihi oui je suis très fière de moi. 😀 )

Le rattrapage fut ultra facile : j’ai tout simplement récupéré le haut de Moneta, auquel j’ai rajouté une bande d’ourlet, à l’image d’Ondée. (Dieu merci j’avais gardé un tout petit bout pour couper ma bande d’encolure !)

Et j’ai tout simplement coupé un short dans ma jupe.

Pour se faire j’ai utilisé le short 109 du Burda de Juillet 2011.

Ultra simplifié ici : je n’ai pas cousu les poches, et redessiné les contours de l’ourlet pour qu’il soit simplement droit. N’ayant pas la place sur ce qu’il me restait de tissu pour tracer des marges de couture autour des pièces du patron, j’ai recopié un 40 à la taille, agrandi jusqu’à un 42 sur les hanches. Et le résultat est nickel.

Par manque de tissu là encore, la ceinture est plus fine que celle prévue par le patron. J’ai remplacé l’élastique par 2 oeillets et un cordon vert fluo.

Verdict : ça va sans doute vous sembler couillon, car il n’y a aucune difficulté technique dans cet ensemble, mais je suis vraiment fière de cet ouvrage. Avoir eu la bonne idée et le courage d’insister face à l’échec, pour obtenir un ensemble carrément super chou, et pour le coup, très utile (j’ai vraiment besoin de ce genre de tenues et évidemment, je ne prends jamais le temps de les coudre) : le destin a encore bien fait les choses. 😉

(Là il faut imaginer Paul sur ma gauche qui fait des grimaces pour me faire rire. ❤)

Une excellente fin de semaines les filles, prenez bien soin de vous ! ❤

Une petite session d’ #ABasLesChutes, ça vous tente ? Allez hop, on y va, c’est partiii !

On démarre donc de manière chronologique avec les chutes de la robe Maia : j’espérais avoir assez de tissu pour lui couper la robe trapèze du bouquin Total Liberty pour les Petits, et j’ai eu de la chance, car le patron en 6 ans est passé AU MILLIMÈTRE PRES.

Ah ben oui hein, je ne vous mens pas ! 😀

J’avais oublié à quel point le modèle est court, mais en même temps, la photo du bouquin ne ment pas. L’ourlet de 3cms est compris dans les marges : ici je l’ai réduit au minimum, avec un mini ourlet.

Pour ma puce de 5 ans et demi, ça passe tout juste pour cet été. Mais le grand avantage de la robe trapèze, c’est que l’on peut aussi la porter en hiver ! Avec un sous pull à manches longues et des collants opaques, ce sera parfait.

Et puis à vous je peux le dire : j’ADORE coudre ce patron. Il n’y a rien de plus facile, de plus rapide et de plus gratifiant qu’une petite robe trapèze. Vous assemblez les côtés de la robe, les côtés de la parementure, vous assemblez le tout au niveau de l’encolure et des emmanchures, un petit coup de crantage, on retourne le tout, on fait l’ourlet et hop ! Vous avez une robe ! C’est pas génial ??

Et pis alors, si vous vous la jouez feignasse comme moi, remplacez les boutons par des pressions KAM, et c’est encore plus facile et rapide ! 😀

Verdict : Juliette l’adore, a déjà choisi la couleur du sous pull pour la porter cet hiver, et moi je me suis régalée à la coudre. Gagnant-gagnant ! ❤ On passe aux chutes de la robe Charlie ?

Oui, un short, encore. 😀 En fait, ce short Burda, c’est ma robe chasuble pour petit garçon. 😀

Rien de plus simple ni de plus rapide : pour  cette version ci, j’ai zappé les poches côtés, mais gardé celles surpiquées sur le dos.

Une coulisse, un cordon fluo rigolo, 2 oeillets pour faire passer le tout, et hop, l’affaire est dans le sac !

Celui ci est taillé en 2 ans, et c’est nickel pour mon loulou-crevette de 2 ans et demi.

RETENEZ MOI DE LE BOUFFER TOUT CRU !!! ❤❤❤

Verdict : ça remplit l’armoire, c’est easy-peasy et rapide, c’est le meilleur allié pour finir des chutes…en gros, J’AIME ! Allez, on termine avec Tom ? 😉

Pour cette rentrée, mon loulou avait besoin d’une blouse de travail. Dès qu’il l’a su, il m’a demandé de la lui coudre. J’ai donc cherché un patron, et trouvé cette pépite chez Gasparine.

La créatrice, Amélie, est adorable car elle nous offre gratuitement ce patron. Et attention, gratuit ici ne veut pas dire de qualité moindre : le patron est bien taillé et les explications limpides.

Cette blouse n’est pas à proprement parler un #ABasLesChutes, quoi que. En fouillant avec Tom dans le stock, ce dernier a craqué sur ce coton cretonne bleu, jadis acheté chez Mr. Albert pour y couper des appliqués pour le linge de lit de Paul, quand il était bébé. Je n’en avais utilisé qu’à peine 10cms : et comme il n’y a pas de hasard, les pièces se sont calées sur ce qu’il restait, à la perfection. Ici vous pouvez voir la blouse en 8 ans, sans modification.

Ce patron est vraiment bien pensé : les manches sont élastiquées, le boutonnage est asymétrique, et une poche avec rangement à crayons est même prévue ! Tom préférait une simple poche avec un flex de BB8 dessus : la Cameo et moi nous sommes donc mises au travail avec application. 😉

Et il a aussi choisi des pressions blanches : si là on ne sait pas que tu es marseillais mon petit chou, on ne le sait plus ! 😀

Verdict : je ne suis pas prête d’oublier son sourire quand je lui ai tendu la blouse, terminée, avec amour. Oubliez les robes, les sacs, et toutes ces choses : le vrai bonheur de la couture, c’est ça, réaliser les rêves de ses mômes ! ❤

Une bonne fin de semaine les filles, et prenez soin de vous ! ❤